Travail indépendant Les grands savants francais

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Les grands savants francais

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'Histoire de France est faite d'histoires personnelles d'hommes et de femmes d'exception devenus légendes. Vous souhaitez en savoir plus sur Jeanne d'Arc, Louis XIV ou, plus près de nous, Georges Pompidou ? Routes historiques, châteaux, jardins, musées, mémoriaux - tout cela vous mènera sur les chemins de vraies personnes devenues des personnages symboliques de l'histoire.
De l'époque gallo-romaine au moyen-âge
Vercingétorix, né vers les années 80 avant JC en Auvergne, est le plus célèbre des chefs gaulois. Après de nombreuses batailles visant à unir la Gaule, en 52 av. J.-C., il gagne à Gergovie sur Jules César, mais subit ensuite une défaite définitive à la forteresse d'Alésia. Vous pourrez vous familiariser avec l'histoire de la guerre des Gaules au Muséoparc Alésia (Lien externe) en Bourgogne.
Jules Janin est né le 16 février 1804 à Saint-Etienne dans la famille d'un avocat. Il est diplômé du prestigieux Lycée Louis le Grand à Paris.
A partir de 1825, il publie des articles dans de petits périodiques ("Le Courrier des théâtres", puis "La Lorgnette"). À partir de 1826, il se lance dans le journalisme politique, collabore, entre autres, au journal Le Figaro. Cependant, il est décisif pour lui qu'il entre à la rédaction du Journal des Débats en novembre 1829.
Jules Janin
Au début, il imprime des notes politiques et, à partir de 1830, il devient célèbre en tant qu'observateur de théâtre. Depuis 1836, Janin était responsable du département de critique théâtrale de ce journal. Pendant quarante ans, il suivit inlassablement l'évolution du théâtre français, faisant souvent preuve d'une grande perspicacité : il fut le premier à remarquer le talent de l'exceptionnelle comédienne tragique Rachel, contribua au succès de Ponsard et du Goncourt, etc. Sous le Second Empire , Jeanin, qui ne soutient pas le nouveau gouvernement, quitte Paris et s'installe dans une villa à Passy. Le 7 avril 1870, il est élu à l'Académie française. Jules-Gabriel Janin est décédé le 19 juin 1874 à Paris.
Création
Janin n'avait pas de théorie esthétique strictement soutenue. Cependant, en général, il était attaché au goût classique, qui se manifestait particulièrement dans les cas où Janin écrivait sur Molière ou Marivault [2]. En 1840, il critique la pièce Vautrin de Balzac, bien que huit ans plus tard, il rende hommage à son talent de romancier. Pendant ce temps, on pense que certains des traits de personnalité de Janin sont capturés dans les images des journalistes de la Comédie humaine, dont le très désagréable Etienne Lousteau.
En termes de légèreté et d'élégance du style, Sainte-Beuve met Janin à égalité avec Denis Diderot et Charles Nodier.

La plupart des feuilletons dramatiques de Jules Janin ont été rassemblés dans un ouvrage en six volumes intitulé « Histoire de la littérature dramatique » (Paris, 1853 - 1858). En outre, il est l'auteur des romans L'Âne mort et la Femme guillotine (1829, traduction russe 1831), Confession (1830), des romans historiques - Barnave (1831) (sur Louis XVI, Marie-Antoinette et Mirabeau) et La Toulouse Nun (1850), le cycle des Contes Fantastiques (1832), un certain nombre de traductions par Horace et Virgile. Janin possède également une traduction en français du roman de S. Richardson "Clarissa Garlo" (1846), livres à caractère historique et ethnographique.

Hector Berlioz (1845) a composé la musique de son poème "Chant des chemins de fer". Le livre La fin du monde et la fin du neveu de Rameau (1861) est une continuation de l'œuvre bien connue de Diderot et contient une image originale de la vie de la société française au XVIIIe siècle.
N icolas Halma (Français Nicolas Halma ; 31 décembre 1755 - 4 juin 1828) était un abbé français, mathématicien et historien de l'astronomie. Traducteur des oeuvres de Claude Ptolémée "Almageste" et "Hypothèses et époques des planètes", ainsi que des "Commentaires" (sur l'Almageste) de Théon d'Alexandrie en français.
Biographie et activités
Né à Sedan le 31 décembre 1755. Il a fait ses études au Collège du Plessis à Paris (fr. Collège du Plessis); prit la dignité et reçut le rang d'abbé. En mars 1791, il est nommé directeur du collège de berlines. Lorsque son école fut fermée en l'année révolutionnaire de 1793, il se rendit à Paris et entra au service militaire en tant que chirurgien. En 1794, il est nommé secrétaire de l'École polytechnique. Plus tard, il occupe la chaire de mathématiques à l'école militaire de Paris, puis de géographie à l'école militaire de Fontainebleau.
Il a enseigné l'histoire et la géographie à l'impératrice Joséphine. Pendant la période de restauration, il a été conservateur à la bibliothèque de Sainte-Geneviève (Bibliothèque française Sainte-Geneviève) et chanoine de Notre-Dame.
Dominique François Jean Arago est né le 26 février 1786 à Estagel (France), près de Perpignan.

À l'âge de 18 ans, Arago entre à l'École polytechnique et, en 1806, obtient un poste de secrétaire au Bureau des longitudes. A ce poste, il poursuit, avec Jean-Baptiste Biot et les commissaires espagnols Shay et Rodriguez, la mesure du méridien dans l'espace de Barcelone à l'île de Formentera, commencée par Delambre et Méchain, et se trouve à Majorque juste à l'époque du soulèvement contre Napoléon. Là, Arago a été arrêté et a passé plusieurs mois emprisonné dans la citadelle de Belver près de Palma. Libéré, il tenta de passer à Alger pour naviguer de là à Marseille sur un navire algérien, mais le navire fut capturé par un croiseur espagnol, et Arago fut emmené au Fort Rosas. Finalement, à la demande du dey algérien, il fut libéré et tenta à nouveau de retourner à Marseille, mais une tempête se leva près du port lui-même, et le navire d'Arago fut emporté par les vagues jusqu'à la côte sarde, d'où, cependant, il réussit à arriver à Alger. Mais l'ancien dey avait déjà été tué, et le nouveau souverain ajouta Arago à la liste des esclaves et l'utilisa comme interprète dans les cours des corsaires. Ce n'est qu'en 1809, à la demande réitérée du consul de France, qu'Arago reçut sa liberté et atteignit enfin Marseille, échappant de justesse à la persécution de la frégate anglaise. Malgré toutes les péripéties, Arago parvient à sauver les résultats de ses observations, qu'il présente dans l'ouvrage "Recueil d'observations géodésiques, astronomiques et physiques".

Peu de temps après, à seulement 23 ans, il est élu à l'Académie des sciences dans le siège vacant de Lalande et nommé par Napoléon Ier professeur à l'École polytechnique.
En 1812, naît son fils François Victor Emmanuel, futur diplomate, ministre de la Justice et ministre de l'Intérieur de France[12].
À l'École polytechnique, Arago enseigne l'analyse mathématique en géodésie jusqu'en 1831. Plus tard, il s'est concentré principalement sur l'astronomie, la physique (en particulier la polarisation de la lumière, le galvanisme et le magnétisme), la météorologie et la géographie physique.
Membre étranger de l'Académie bavaroise des sciences (1843)[13].
Mérite scientifique
Portrait de François Arago (1842)
Les mérites d'Arago dans divers domaines scientifiques sont énormes.
Possédant un esprit pénétrant et des capacités d'observation extraordinaires, il a introduit quelque chose de nouveau dans chacune des sections qu'il a traitées. Ainsi, par exemple, alors qu'il vivait reclus dans ses stations géodésiques d'Espagne, il remarqua que sa vision pénétrait librement jusqu'au fond marin, parsemé de pierres sous-marines, et cette simple observation le conduisit aux recherches les plus curieuses sur la relation de la lumière réfléchie par la surface de l'eau à angles aigus, à la lumière venant directement du fond de la mer. Ayant appris cette relation, il l'appliqua à la découverte des pièges au moyen d'une plaque de tourmaline taillée parallèlement à l'axe de double réfraction.
Arago a fait un certain nombre de découvertes qui ont considérablement fait progresser la science. La période la plus fructueuse de son activité fut la période de 1811 à 1824. Durant ces treize années Arago :
Il a découvert la polarisation de la lumière diffusée du ciel.
Il fit des observations précises sur le mouvement des bandes colorées résultant de la rencontre de deux rayons, dont l'un traverse une mince plaque transparente.
Il a confirmé expérimentalement l'existence d'une tache brillante au centre de l'ombre géométrique d'un objet opaque (tache de Poisson-Arago), qui est devenue l'une des preuves décisives de l'exactitude de la théorie de la diffraction développée par Fresnel.
Le premier a remarqué que la limaille de fer est attirée par un conducteur d'électricité dans l'expérience d'Oersted
Il fut le premier à faire passer un courant électrique dans une spirale avec une flèche incrustée dedans, qui était magnétisée à la fois par la décharge de la bouteille de Leyde et le courant de la colonne voltaïque.