Le probleme des parties du discours



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LE PROBLEME DES PARTIES DU DISCOURS


LE PROBLEME DES PARTIES DU DISCOURS
Plan:

  1. Des règles antiques

  2. Deux registres du discours

  3. Le système

La rhétorique, qui désigne l'art et la science des discours, a mis en évidence des critères qui rendent la parole efficace, selon la situation et les interlocuteurs. Or, les règles majeures de la rhétorique ont peu évolué depuis l'Antiquité, époque lors de laquelle l'art de bien parler a prospéré.


Des règles antiques
Chez les Grecs, l'histoire retient les deux grands logographes (auteurs de discours) Isocrate et Démosthène, qui ont vécu aux ve et ive siècles avant notre ère. Le philosophe Aristote a aussi joué un rôle de théoricien, dans sa Rhétorique.
Quelques siècles plus tard, Cicéron (106-43 av. J.-C.) a ébloui Rome par son éloquence. Les discours ainsi que les traités de cet éminent avocat et homme d'État ont connu une grande résonance. Ses succès publics ainsi que la pertinence des conseils rhétoriques qu'il diffusait, font de lui l'un des orateurs les plus respectés.
Enfin, le rhéteur Quintilien (35-96), par sa synthèse des grands principes rhétoriques, continue de faire autorité. Dans son Institution oratoire, il a constitué une somme de toutes les règles générales d'un discours efficace. Il revient sur les différents types de prise de parole dans une multitude de contextes pour prodiguer des conseils adaptés à chaque situation. Son œuvre est abondamment nourrie de références aux grands rhétoriciens qui l'ont précédé et il n'hésite pas à montrer que tous ne sont pas nécessairement d'accord avec lui. Aujourd'hui encore, les parties du discours retenues sont celles que Quintilien a théorisées.
L'histoire de la rhétorique ne s'est pas arrêtée là, puisque de grands penseurs au Moyen Âge, à la Renaissance et plus récemment, ont raffiné, ajouté, retranché certaines règles. Mais les grandes lignes ont véritablement été résumées par Quintilien.
La naissance de la rhétorique
La rhétorique serait née en Sicile, et plus particulièrement à Syracuse, au ve siècle avant notre ère, alors sous domination grecque. De nombreuses injustices ont conduit les habitants à se soulever démocratiquement et à intenter des procès de propriété envers les gouverneurs. Plusieurs intellectuels ont alors dispensé des conseils au peuple pour bien se défendre lors de procès, qui, à l'époque, ne comportaient pas d'avocats. L'un d'eux, Corax, aurait alors écrit le premier manuel de rhétorique. Il serait même le premier à avoir divisé le discours en plusieurs parties.
L'exposé
Comment tirer profit des principes rhétoriques issus de l'Antiquité dans un exposé de cinq minutes ? Il ne sera pas question de les appliquer rigoureusement, mais de s'inspirer de leur esprit. C'est le type d'organisation du discours qui a prouvé son efficacité et non une application à la lettre des préceptes de Quintilien. Or, pour ce dernier, la préparation d'un discours passe par cinq phases :
• L'invention (inventio en latin) : trouver quoi dire ; et à ce stade, vous avez déjà sûrement trouvé vos deux questions.
• La disposition (dispositio) : la bonne organisation de votre discours.
• Le style (elocutio) : la rédaction de votre discours, le niveau de langue et les figures de rhétorique employées.
• L'action (actio) : la gestuelle et la prononciation du discours.
• La mémoire (memoria) : l'apprentissage du discours.
Un discours ne peut remporter de succès qu'en fonction du contexte de la prise de parole et de l'auditoire. Par exemple, un bon exposé du grand oral devant des examinateurs n'aura pas du tout la même teneur ni le même ton qu'un bon discours d'un dirigeant de parti politique devant ses partisans. Ainsi, le registre sera essentiellement didactique – ou explicatif – et il s'agira de convaincre son jury par des arguments tangibles et non miser sur les émotions, même si vous devez exprimer votre appropriation personnelle du sujet. Il s'agira surtout de respecter les quatre moments du discours.

Deux registres du discours


R
egistre polémique (du grec polemos : « guerre, combat ») : défense d'un point de vue avec détermination, vivacité et parfois agressivité. Quand un adversaire est ciblé, l'orateur cherche à l'attaquer, le discréditer, le dévaloriser. L'apologie d'un principe ou d'une cause passe par des hyperboles, un appel aux sentiments, des anaphores, des questions rhétoriques.

Le Greco, Le Christ chassant les marchands du Temple, 1600.
Registre didactique (du grec didaktikos : « qui sert à l'enseignement ») : explication claire, logique et structurée d'une idée. Ce registre, très répandu, est propre à la transmission d'un savoir. Tout professeur ou conférencier l'utilise couramment. Les connecteurs logiques, le présent de vérité générale et les arguments factuels en sont les principales caractéristiques.



Rembrandt, La Leçon d'anatomie du docteur Tulp, 1632
Les quatre moments du discours
L'organisation du discours (la dispositio) comporte quatre étapes : l'exorde (exordium), la narration (narratio), l'argumentation (confirmatio) et la péroraison (peroratio). Lors d'une joute verbale, d'un débat ou d'un procès, on a coutume d'inclure dans l'argumentation la réfutation des arguments adverses.
Mais lors du grand oral, il n'en sera pas question. Il faudra surtout prendre soin, lors de l'élaboration de l'exposé de cinq minutes, de distinguer ces parties, même si elles seront nécessairement réduites. Chaque moment du discours importe.
→ Reportez-vous à l'étape no 11 du carnet de bord.
Les problèmes de la classification des parties du discours.
Depuis des siècles tous les mot étaient partagé en deux grandes groupes mais on les appelé différemment, suivent ce qu’on voulet mètre en relief – le sens ou ma fonction. Le 1-ere coupe s'appelle les mots significatif ou notionnelle (ces mots représentes la notion d’obnjet, d’âtre, de calité, d’action, d’état, un nom les person ; les choses, les phénomènes de la réalité). L’autre groupe – les mots grammaticaux ne possède pas la fonction nominative mais serve à exprimer de différantes relation entre les mots notionnelles ; serve à exprimer leur catégorie. Parfois on appelle les mots grammaticaux – vides, ce n’est pas juste. Il serve à exprimer des valeurs grammaticales, mais ne sont pas complètement dépourvue de leur valeur sémantique. Voila pouirqoui il est préférable de les nommer « grammaticaux ». Les mots grammaticaux diffère aussi des mots notionnelle par ce qu’ils ne peuvent pas forner de phrases. Les savant sont en clin à crois que les deux genres d’élément linguistique ne peuvent pas exister sans les autres. Ils se complètent. Et il n’y a que leur union qui créer le langage. Mais tout en reconnaicant l’existance de s’est deux types les savantes les appeler differamant. Par ex Patignat il partager tout les mots en mots ayant une valeur en en mots ayant aucune valeur. P.F. Partunadov parlait des mots plein et des mots vides. V.V. Vinogradov dégageait des mots indépendant et des particules (mot-outilles). Et subdivisant rout les mots en groupe les savant suivaient certen principes. Au comoncement c’estait le principe morphologique. Les savants qui avansettent ce principe prêtait une grande attention a une forme du mots. Le substantive – est un partie de discourt. Est applicable pour les langues synthétique ou les substantive se décline. Et même dans les langues synthétique il y a des substantives qui ne change par. Conclusion : ce principe pris isolement n’est pas valable. D’autres savant insistait sur un principe syntaxique, c-à-d sur la fonction de mots dans la proposition (Chahmatov, Patebgnya, Bruno) une partie de discourt equevalait à un terme de proposition. Bruno site en gisse d’example « je travalle avec avdor » il explique que avec avdor veut dire avdamant. Donc avec avdeur est un adv, et il doit être classé parmi les adv. C’est un point de vue ironiée car une partie de discourt peut remplire pleusiere fonction dans la proposition mais il reste unique comme partie de discourt. Elle oublié le sens. En se divisant le mots en partie de discourt il faut tenire conte et de la valeur sémantique du mots. Il faut prendre en concederation ces catégorie grammaticale (sa forme) et il faut penser à la fonction des mots dans la proposition. Les temps derniers les savant ont souligné que ses trois principes ne suffise pascal il faut parler de posibikité combinatoire des mots, de leur position dans la phrase car l’enveroment joue un rôle capitale et ns aide bcp à la définition des parties des discourt. Par ex. Le nom se distingue du verbe, avent tout par la nature des mots-outille qui leur précède. Les particuukes verbale sont : il, elle, on... Et les particules nominale sont : une, la, sa, quelque.... Dans la répartition des mots en classe grammaticale on rôle important apertienne à la distribution. Par ex. Le mot « comédien » dns les phrase : « il est passablement comédien » et « il est un comédien passable » la didtanction entre le substantive et l’adj depens donc des déterminatives qui pressede ou des complément qui suide. La departition des mots en classe est différence selon la langue. Mais tout de même il y a bcp de commun surtout dans les langues seures, bien que chaque langue possède ses propres partie de discours qui n’existent par auiiler. Partie de discours spécifique, mots outille, car le fr est une langue analytique et tous les substantives s’emploient avec des actualisateurs spécifique. Le problèmes de partie de discours sousite bcp decontroverse, qui concernent surtout les poins suivants : la nessecitaime même de la distanction de ses catégorie et l’inventaire, le nombres de partie de discours etc.
De nombre linguistes critiquent la système traditionnelle de partie du discourt. Certain vont jusqu’à nier sa neseccité même. Pourtant cela même qui critique. Emploie ka terminologie traditionnelle. Ce qui en neccessere la définition de ces notions est les linguistes qui ont voulu sa franchir de l’infloince de la terminologue traditionnelle en avançant de nouveaux principes de classement (D’amourette pichon). On abrutie enfin à dégager des classe des mots sans ciblement comparables avec partie de discourt tradirionelles. Tout se cite comme vue. Que cette notion partie de discourt reflète une réalité linguistique objective. Il s’agit donc d’étudier cette notion de plus prêt en perfectionnant les principes de classement. L’inventaire n’est pas facile adresser veu que la différence sémantique ne coiside pas tjr avec les particularité grammaticale du mots. Par ex. Avant peut fonctionner comme un mots plein – adv ou comme un mot- oulitt – préposition. Avoir - mots plein – mot-outille – mots auxiliere.

Le nombres de partie de discourt varie selon la grammaire de 7,8 partie de discourt à 11. Toutes les gr distingue le nom et les verbe. Les autres partie de discourt se lève de discutions. La gr scolaire conte à part le participe. Certain auteur refuse de faire de l’article et ils introiduisse un chapitre concernant le nom et permis lesquels il placent....


Le système
Les partier de discourt sont surtout caractérisé par trois aspect, le sens générale, la forme grammaticale, et la fonction syntaxique des mots. Ces trois termes sont intevemlet lié entre eux mais la forme gr et la fonction syntaxique sont déterminé par le sens général du mots. On distingue 4 partie de discourt essentielle : subs ; adj, V, adv et les partie du discourt subsidieren mots outille, ilterjectiuon, pronom. Les patrtie de discourt sont dégagé selon leut sémantique qui dépendes des élément de la réalité qu’elle représente. Dans la réalité objective l’esptit humain distingue des élément de natures différants. Il discerne d’abor les substance statique, objet. Les prossesus ; lier à ses objet et les calité de ses objet et ses prosesue. Ses idée ou la catégorie de la pensé qui se forme dans le cerveaux humain trouve leur excrétion dans les 4 parties du discourt essentielle. Les substantive désigne les substance, le verbe – le prosesus, l’adj – l es caraceristique de l’object et les adv – On y ajoute les nome de nombre qui exprime une idées générale de cantité.
La forme gr
Le subs possède 2 catégorie : le genre et nombre. Les catégorie verbales sont – temps, aspect, mode, vois, personne. L’adj et l’adv – ont la catégorie de degrés de comparaison. L’adj a également les catégorie de genre et de nombre qui ne sont pas significative dans ce cas.
Fonction syntactique. La focstion primaire du substantive est celle de sujet ou l’objet, le V – prédicat, l’adj et l’adv – rôle d’epitete et de complément circonstancielle.
Les partie de discoure substitienne – rôle est auxilliere, oubien ils serve àc remplacer les mots ou à lier les partie de discourt essentielle. Les intergectiones ne désigne pas des élément du monde extérieure mais exprime les émotions, les réactions humaines. Ils reproduise. En principale elle ne peuvent se lié à d’autres de a phrase, ou il se trouve généralement en position détaché. Rarement elle se combine avec d’autre mots. Certain auteurs rengue les interjection avec les mots expriment les réactions logique. Dans le groupe – mots- phrase.
Les élément linguistique peuvent nommer en réalité de façon direct ou d’un façon indirect, lorsque le mots ne fait qu’indiquer un élément donné, dont la dénomination direct et suggérer. Je lis ce livre. Elle se trouve la bas. Il faut e
On divise les mots en classe des mots plein et des mots outilles. Les mots-outille constitue les partie non(autonome du discours ? Il s’occupe une place intermedienne entre le mots pleins et le morphèmes grammaticaux. Il se rapproche des mots plein parce qu’il sont isolable, signification qui se précise immédiatement. Souvent il sont tres proches des mots autonomes ? Il derive de et garde même leur catégorie grammaticale. Mais à la différence des mots- autnomme il ne peuve constituer, ils ne peuve en une sele constituer à un terme de proposition.*
La fonction des mots utilles
Ils servent à constituer la forme syntactique à l’actualisé.
La fonction de déterminative, des Verbes outille, verbes copules, de préposition
Serve à remplacer un terme de la proposition, c’est le cas de pronom conjoins (il, se, le, celui)
Serve à lier les termes de la proposition ou les propositions ( la fonction des conjonction, des préposition)
Serve à exprimer la modalité de la phrase tout entier (question, négation) et c’est la fonction en particule.
L’inventaire des parties du discourt
Tout les mots français se soubdivisent dans la premiere demarcation en mots à valeur :
Expressive (interjection)
Nominative (proprement dite)
Mots à valeure nomlinative Autonome
Directe (substantif, adjectif, verbe, adverbe, nom de nombre)
Inderect (pronom)
Mots à valeure nomlinative Non-autonome (prepositions, conjonction, determinatifs, particules)
On distingue 11 parties de discours : 7 classe autonome et 4 classes non-autonomes. Et se sont les mots à valeur nominative autonome direct qui constitue le noyau de partie de discours. Il existe des écarts entre la forme et le contenu qui provienne l’exantion des formes à de nouvelle fonction. On distingue dans la langue le noyau (mot qui posed les fonctions, les catégories grammaticales propre à cette partie du discours) et la périphérie (cumule les caracterestique de la partie du discours donné et cellee d’une autre partie de discours où il ne possédé pas toutes les fonctionnes et formes grammaticales).
Par ex. Au sein du verbe la forme personnelle représente le noyau, alors que les formes non-personnelles constituent la périphérie car seule la forme personnelle possède les 4 catégories verbale : personne, temps, mode, voix. Et les formes non-personnelles (infinitive, participe, gérondif) n’ont ni la person, ni le mode.
Quand à la fonction seul la forme personnelle remplie effectivement la fonction de prédicat fonc primer, essentielle de le forme non-personelle ne peut remplire se rôle qu’acsidentellement. Par ex. L’infinitive de narration. Oubien senissent à la forme personnelle, en expriment un prédicat secondaire. Par ex. Il va en chantant. Il s’en va sans mot dire.
Très souvent elles assument les fonctionnes d’autre parties de discours ‘substantif ; de l’adj, de l’adv), l’infinitive réuni de cette façon. Les caracterestiques du verbe et du substantive, le participe. Celle du verbe et de l’adjectif, et le gérondif se trouve entre le verbe et l’adverbe. D’autre partie du discours ont aussi des éléments centraux et pereferiques. Parmi les substantives se sont les noms de choses et d’être qui constitue le noyau de la catégories. Quand à l’adjective ce sont les calificatifs qui informent le noyau, alors que les adjectifs de relations en constitue des éléments pereferiques.


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