B/ Etude radiologique : Sous toutes ses formes, elle permet parfois d’affirmer, ou au moins
d’approcher le diagnostic. Mais il faut se souvenir que même l’imagerie la plus
moderne n’apporte pas le diagnostic histologique.
1) Radiographie standard : Les données radiologiques standards de face et profil, parfois de trois quarts
permettent d’évoquer des arguments de malignité.
Ainsi, l’ostéolyse massive à contours flous, une corticale rompue, une faible
ostéogénèse périphérique, ou éperon de Codman, indiquent la malignité.
Au contraire des contours biens dessinés, avec forte ostéogénèse réactionnelle
qui orientent plutôt vers la bénignité mais rien n’est pathognomonique et toutes les
formes de passage existent entre les deux entités.