Sans parler des bienfaits pour notre santé, aller vers de plus en plus de bio est une urgence pour la santé de notre planète. En pleine crise climatique, se tourner vers un système de production alimentaire sain et durable fait partie des réponses pour sortir de l‘impasse.
Parallèlement, la population mondiale ne cesse d’augmenter : nous sommes 7,7 milliards en 2022, serons proches de 10 milliards en 2050, et peut-être 11 vers 2100 selon les projections de l’ONU (1)… Donc vachement nombreux ! L’enjeu est donc d’assurer la sécurité alimentaire du plus grand nombre, dans les meilleures conditions possibles.
Parallèlement, la population mondiale ne cesse d’augmenter : nous sommes 7,7 milliards en 2022, serons proches de 10 milliards en 2050, et peut-être 11 vers 2100 selon les projections de l’ONU (1)… Donc vachement nombreux ! L’enjeu est donc d’assurer la sécurité alimentaire du plus grand nombre, dans les meilleures conditions possibles.
Les plus sceptiques doutent que la bio puisse parvenir à nourrir la planète parce que les rendements en bio sont un peu plus faibles (inférieurs de 5 à 30% suivant les productions et les conditions) qu’en agriculture conventionnelle. Pour atteindre le même niveau de production et nourrir plus de monde, il faudrait donc plus de terre. Conséquence : plus de déforestation, moins de biodiversité, donc impact global négatif… Alors on abandonne cette piste ? Sûrement pas : en fait, l’objectif n’est pas de remplacer un systèmeuh de production par un autre, et de produire toujours plus. Au contraire, c’est l’opportunité de repenser tout notre système agro-alimentaire…
Les plus sceptiques doutent que la bio puisse parvenir à nourrir la planète parce que les rendements en bio sont un peu plus faibles (inférieurs de 5 à 30% suivant les productions et les conditions) qu’en agriculture conventionnelle. Pour atteindre le même niveau de production et nourrir plus de monde, il faudrait donc plus de terre. Conséquence : plus de déforestation, moins de biodiversité, donc impact global négatif… Alors on abandonne cette piste ? Sûrement pas : en fait, l’objectif n’est pas de remplacer un systèmeuh de production par un autre, et de produire toujours plus. Au contraire, c’est l’opportunité de repenser tout notre système agro-alimentaire…