Option denosumab
L’étude FREEDOM, chez des femmes de 60 à 90 ans traitées
par denosumab a montré que le bénéfice du traitement
se retrouve dans tous les groupes d’âge, quels que
soient le risque de départ, la gravité de l’ostéoporose (11)
et la localisation (12). Dans ces conditions, l’incidence
des fractures de hanche chez les femmes à haut risque
(> 75 ans) traitées par denosumab est similaire à celle
des femmes à faible risque, non traitées (12). La même
constatation a été faite pour l’incidence des fractures du
poignet (13). Enfin, une analyse post hoc du risque en
cas de fracture préexistante a souligné l’impact positif
du denosumab avec une réduction absolue du risque
de nouvelle fracture de 6,8%, quel que soit l’âge de la
patiente (14).
«En résumé», rappelle Santiago Palacios, «le denosumab
réduit significativement le risque de nouvelle fracture
– vertébrale, non vertébrale ou de hanche – chez les femmes
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